Il y avait beaucoup de belles vierges -.
gorge de montagne, collines, les crêtes
Plein de souvenirs de passion
Et le vote secret…
Ils ont attiré dans la poussière de la route
De siècle conduit par,
Ils ont supplié et menacé
poignard, le poison et le feu…
Levage des couvre-lits muets,
Ils parqués le troupeau de mon,
Quand j'étais rapidement endormi, fatigué,
Et dans les étendues pleuré ruisseaux…
Et chaque beau mensonge
Avec moi était connecté,
Et chaque tremblement chéri
Je souffrais, GLA et GLA…
Mais sur la tête folle
J'ai soulevé le fouet, Je rassemblai le troupeau
Et il sortit un sentier de montagne,
Afin de ne pas revenir en arrière - jamais!
ici le silence. Il y aller les nuages.
Le vent bruisse l'herbe.
J'écoute la falaise cher
Ils sont le murmure terrestre sous la montagne.
quand, bleu fleurs piétinent
sabot de cheval noir,
Je serai de retour, le roi, e respiration tempête, -
Vous ne me connaissez pas!
Mars-Juin 1908