Fatigué des promenades quotidiennes
Je pars parfois de l'agitation
ulcères Vospomnit de la souffrance,
Alarme les vieux rêves…
Quand je pouvais respirer son âme
le bonheur de printemps un jour d'hiver!
oh, aucun, pourquoi, Pourquoi détruire
Son indolence infantile?
Jolie me porte mon âme
Pour ses hauteurs célestes,
Où se lève parfois le bonheur que nous,
Mais nous ne serons pas.
30 octobre 1898