Comme un rêve, laisse un jour d'été,
Et un soir d'été ne peut rêver.
Pour la paresse des villages éloignés
mensonges Ma rêverie.
Je respire et les pensées, et souffre.
ouest sanglant si merveilleux…
Je cette heure, comme un rêve, amour,
Et force est pas peur des chansons.
Je suis à cette heure devant vous
Dans l'âme douloureuse de la poussière.
Je terriblement avec la chanson de tonnerre
Sous cet orage nuage.
27 juillet 1902