La rivière sous le vent Banquise porté,
Il était le printemps, et le vent hurlait.
Du foyer otpylavshego
l'obscurité du soir voile Obscure.
Et il assis devant une cheminée,
Sur le dessus et otstradal
et regardez, une fois aquilin,
cendres que regardé.
Dans le crépuscule du soir flottaient
Avant lui visions des derniers jours,
Se réveiller la vieille douleur
Jeu d'ombres désincarné.
un, un, monde oublié,
Bezvlastnыy, mais encore en vie,
Du crépuscule des idoles onetime
hochements de tête Weary…
Les amis chaîne expérimentés,
Les ennemis des caractéristiques brutales,
Nous avons adoré et personne préférée
Nager dans l'obscurité grise…
tous les acteurs, oublié partout,
il ne faut pas souffrir et attendre,
Il ne reste plus qu'un tas de cendres
montre les yeux Extinct…
Où balayé ses rêves?
Prev incliné d'un pauvre esprit?
Il a rappelé son Throwing,
alarme de réveil doom plus tôt…
Et il était doux d'être fatigué,
Il est encourageant parce que, jamais,
Que le coeur ne veut plus
ni chocs, ou le travail,
notre Leste, ni amour, pas de gloire,
ni illumination, notre ultra…
souvenirs majestueusement,
Comme les nuages, embrassé le coucher du soleil,
pile entassée de tours,
construit un mur, villes,
Là où le ciel était jaune et terrible,
Et les orages dans les jeunes années…
Du foyer otpylavshego
crépuscule a navigué et a navigué sait pas,
La rivière sous le vent Banquise porté,
Il était le printemps, et le vent hurlait.