1
Lorsque les feuilles humides et rouillés
Rowan groupe zaaleet, -
Lorsque la main osseuse bourreau
Martelée le dernier clou dans la paume, -
Lorsque sur les rivières ondoyantes mènent,
En hauteur humide et gris,
Face à la patrie dure
Je vacillé sur la croix, -
Puis - spacieux et bien
Je regardais par le sang des larmes mourants,
Et je vois: la rivière large
Me nager dans un canot Christ.
Aux yeux - même espoir,
Et les mêmes chiffons sur elle.
Et désolé des vêtements à la recherche
paume, percé d'un clou.
Christ! champ d'application native triste!
Malade sur la croix!
Et votre prow - si pryachalen
Pour ma taille Crucifié?
2
Et maintenant, le vent a fracassé, assassiné
buissons de saule encerclés.
Et la route de la poussière
Grim vieillesse était couché sur ses joues;.
Mais dans l'orbite sombre
regarder, dardés impossible…
Et la joie, et la gloire -
Tout dans ce rayonnement sans fond,
et en outre.
Mais les herbes écrasées
triste,
Et les feuilles tournent dans les bois nus…
et des rêves, et les rêves, et les rêves:
soleil expérimenté!
Tu me pitoyable et pitoyable…
oh, stupide coeur,
garçon rire,
Lorsque vous arrêtez de battre?
3
Les épaules froides du vent
Votre étreinte tellement gratifiant:
Pensez-vous - une douce caresse,
Je sais - le plus grand bonheur de la rébellion!
Et les yeux chauds, comme des bougies
nuit, et l'écoute avec impatience -
Remuer histoire effrayante,
Et l'étoile respire la limite…
oh, cette nuit brillante
Vous aurez toujours belle,
et, Véritable paradis noir,
Vous serez ma lumière étoiles!
je sais, le vent froid,
Je crois, que sans passion d'automne!
Mais ne pas apprendre dans un manteau sombre,
Que faites-vous avec moi leurs choux gras!..
Et se précipitant à l'automne a donné,
Et écouter les tubes lointains,
Et la route Mérimée nuit,
hauteurs froides de ma…
Heures fêtes passées -
Mes lèvres en état d'ébriété
Baiser dans une angoisse de mort
vos lèvres froides.
3 octobre 1907