Nous avons marché le chemin de l'azur,
Nous nous quittâmes seulement pour longtemps…
nuit impénétrable, orageux
Tout à coup ouvert la fenêtre…
vous êtes, vision claire?
Coeur à peine refroidi…
Je sens le souffle de la passion,
Je continue à entendre la parole…
Le vent porte les cris,
Les larmes interférer avec la pluie…
Voulez-vous un adieu câlin?
Rappelez-vous le passé ensemble?
par, vision d'azur!
Coeur comprime angoisse
nuit impénétrable, orageux
vent, mais l'image de l'ancien!
28 février 1900