Et la vie, et la mort, je connais, moi sont.
vient la tempête, briller loin la foudre d'été,
noircit nuit, - Et les vieilles chansons,
encore, - des histoires muettes.
Je sais - la nuit de la forêt loin de moi autour de la
Pensivement étendu ses voûtes silencieuses,
Nulle part l'âme vivante, ou un abri, pas de feu, -
Une nature silencieuse…
et ce? Mon âme alors juste chanter l'hymne;
Je ne me soucie pas, - Faites pousser le voleur
Buissons près de la voûte noire de mauvaise humeur,
Ile au cimetière se lèvera défunt
Promenez-vous dans les villages, nosya avec une peur…
Mon tout se fond dans l'âme des chansons plus,
Et puis je lis les étoiles dans la nuit
Mon destin et la triste histoire de jours…
14 juillet 1899