Mémoire d'Août Strindberg
Oui, Je connais toute la farine,
rêver goulûment sur la fin…
mais pas! mains arrêtées,
Je vis - avec tristesse sur son visage…
Le printemps a erré dans le cimetière
Et le petit monticule trouvé.
Que la tombe inconnue
Pour tout savoir, que je vivais!
J'ai apporté des fleurs préférées
Par la tombe au coucher du soleil…
Mais quelqu'un marche, Il passe devant
Et il me regarde.
Et ce point de vue est rencontré par hasard,
J'ai lu la note en elle…
Non, Je suis seul dans le monde entier!..
Je me suis retourné et je suis allé loin.
Ou mon genre de pitié qu'inspire?
Ou comme lui
fatigue visage triste?
Ou tout simplement ennuyé - un?..
Non, Je préfère fermer les yeux:
sur mince, sur la mélancolie; laisser
Ne mentez pas entre lui et moi
tristesse connexion…
mais je me sens: derrière
frais, il est venu au point…
Lui I discours en colère
Je prépare déjà à se battre, -
et tout à coup, avec des efforts douloureux,
voix à peine audible, dit-il:
« A propos de, ne pas paniquer. Ici, dans la tombe
Mon enfant enterré ".
Je me suis excusé, exprimant
Tête d'inclinaison tristesse;
et il, envoyer des fleurs,
il a dit: « Bouquet de vous oublier ». -
« I Fleurs dans la mémoire de la réunion avec vous
Donnez à votre enfant…»
Il, haussant les épaules froid,
il a dit: « Ils vous ont besoin ».
Oui, Je vinyus son erreur,
mais… Je ne pardonnerai pas jusqu'à la mort (aucun!)
Ce sourire condescendant,
Avec ce qu'il m'a soigné!
août 1914